De la même façon, en reprenant mes études en 2003 pour un DESS en Sciences de l'Information et Communication, je pris le parti de sortir des livres et de l'intellectualité des propos pour les relier à la vie observable, aux êtres rencontrés.
Mais qu'il s'agisse d'ouvrir l'art aux sciences de la vie, ou d'ouvrir les sciences à une démarche artistique, le rejet est fort de la part de l'institution qui a le monopole du "bien penser".
Pourtant, ce sont ces démarches autres de penser qui font que les arts ont évolué et que d'autres formes d'université et d'éducation se cherchent.